Sommeil
Des formules adaptées aux problèmes de sommeil.
Elise Darcy vous accompagne et répond à vos questions sur toutes les questions qui touchent
à l'enfance.
Découvrez mon activité et retrouvez ma sélection de ressources et mes articles pour vous aider dans votre parentalité.
Des formules adaptées aux problèmes de sommeil.
Allaitement, diversification, refus alimentaires...
Accompagnement des parents dans toutes les étapes de l'enfance
Pour se préparer : besoins de l'enfant, soins, sommeil, matériel
Un outil que je partage pour apaiser votre enfant
Formée pour mieux comprendre les besoins de l'enfant
Le prix ne doit pas être un obstacle - me contacter pour en parler
* : fonction du kilométrage depuis le centre de Nantes
L'atelier parent-enfant permet d'observer et de valoriser les compétences sociales de l'enfant. Il contribue à son
éveil.
C'est l'occasion de partager des expériences et des messages de prévention dans un cadre convivial. C'est un moyen de
rompre l'isolement et de rencontrer d'autres familles pour apprendre et échanger sur des thèmes autour de la petite enfance.
Les ateliers durent environ une heure. Voici une liste évolutive des thèmes des ateliers :
Les ateliers sont des moments privilégiés pour vous transmettre des informations, partager les expériences et apporter des
réponses à tout ce qui peut tracasser les parents.
C'est aussi un moyen de rompre l'isolement et de rencontrer d'autres familles pour apprendre et échanger sur des thèmes bien définis autour de
l'enfance et de l'adolescence.
Nous ferons le tour des dernières connaissances scientifiques et éducatives sur le sujet, avant de passer à des mises en situations et à des
échanges, dans le but de répondre à vos questionnements.
Je suis référente santé et accueil inclusif sur une dizaine de multi-accueils en région Nantaise.
Je forme depuis 2020 des CAP accompagnants éducatifs petite enfance à l'ARIFTS Rezé.
J'interviens ponctuellement à l'école de puéricultrice de Nantes.
Je propose des conférences et ateliers dans un cadre associatif.
Je suis formatrice auprès de l'Institut de la parentalité.
Interventions auprès des structures et des professionnels sur des thèmes tels que neurosciences affectives et sociales, attachement et sécurité affective, émotions de l'enfant...
Contactez moi pour en savoir plus. Tarif sur devis.
des connaissances et coopération avec d'autres professionnels - Approche pluridisciplinaire
du secret professionnel, moralité, probité et humanisme
et écoute bienveillante
J'accompagne les parents en consultations individuelles, mais j'ai aussi de nombreuses autres activités :
Je suis référente santé et accueil inclusif sur une dizaine de multi-accueils en région Nantaise.
Je forme depuis 2020 des futurs professionnels de la petite enfance (CAP, puéricultrices),
Je suis formatrice auprès de l'Institut de la parentalité,
Je travaille pour May Santé depuis 2021,
Je propose des conférences et ateliers dans un cadre associatif,
Je suis accueillante dans un lieu d'accueil enfant parents.
Diplômée d'Etat d'infirmière en 2000, puis de puéricultrice en 2008, j'ai choisi d'exercer pendant 20 ans dans le domaine public au service de l'enfance.
J'ai débuté dans la fonction hospitalière, avec des postes d'infirmière puis de puéricultrice en service maternité et en endocrino-pédiatrie, puis en hospitalisation à domicile auprès d'enfants présentant tous types de pathologies, du nourrisson à l'adolescent. J'y ai développé des thèmes de prédilection :
- L'allaitement, avec la rédaction de plusieurs rapports :
"L'utilisation de l'allaitement maternel pendant les soins douloureux"
"Harmonisation des pratiques professionnelles autour de l'allaitement maternel en maternité"
- Le sommeil du nouveau né
- Le traitement de la douleur, sujet pour lequel j'ai été référente dans le milieu hospitalier
- La relation d'aide et la communication dans le soin
- L'alimentation (enfant malade, prématuré, diabétique ou souffrant d'obésité)
J'ai par la suite travaillé dans une structure de multi-accueil et développé des compétences en pédagogie de l'éducation du jeune enfant, en alimentation de l'enfant et en soutien de la parentalité.
Cadre en protection maternelle et infantile pendant 5 ans, j'ai assuré l'accompagnement des puéricultrices de secteur et des professionnels de l'unité d'agrément, participé au suivi des multi-accueils et des maisons d'assistantes maternelles et dirigé des travaux sur l'alimentation de l'enfant, les neurosciences, les accidents domestiques...
Les connaissances sur la petite enfance évoluant sans cesse, je m'attache à me former très régulièrement, que ce soit par la lecture d'articles et de livres professionnels ou par la formation.
Quelques formations suivies dans mon parcours : Communication non violente, Neurosciences affectives et sociales avec Catherine Guéguen, Attachement et sécurité affective, Alimentation de l’enfant, Bientraitance de l’enfant, Douleur de l’enfant...
Je suis formée au massage des bébés, auquel je propose de vous initier pendant les consultations, grâce à Jojo, mon poupon de massage.
Livres, podcasts, liens... Quelques références pour vous accompagner.
Pour s'endormir, méditer ou encore, apprivoiser ses émotions...
Vous voilà au supermarché et vous avez presque fini !
Le caddie est rempli et votre enfant bien assis dedans, tout se passe encore bien, lorsque… Patatras! Il commence à bouger, veut sortir de son siège, il se met à toucher et à jeter les courses, à crier, à pleurer…
Noooonnn! Vous êtes en train de vivre un grand moment de solitude…
Vous savez sans doute que le cerveau humain se développe lentement. Il continue même d’évoluer jusqu’à 25 ans!
Avant 4/5 ans, le cerveau émotionnel domine. L’enfant est incapable de faire le lien entre ses émotions et la cause de celles-ci et il est donc très sensible à toutes les stimulations. Si celles-ci sont trop nombreuses, le jeune enfant se sent débordé, envahi et stressé.
Dans un supermarché, il y a de la lumière blanche très agressive, une accumulation d’objet colorés et de personnes, un fond sonore bruyant, de nouvelles odeurs… Tout cela constitue un cocktail d’hyperstimulation.
La conséquence de tout cela est une accumulation de stress avec un besoin de décharge: l’enfant en arrive à crier, pleurer, se rouler par terre, taper… Il est énervé et vous aussi peut-être…
Voilà pourquoi il vaut mieux éviter de l’emmener au supermarché, ce lieu n’est vraiment pas adapté à eux ! Pour vous et pour lui, privilégiez de faire les courses seul(e)s, ou utiliser les options comme la livraison ou le drive ! Et partagez plutôt avec lui un temps où vous êtes disponible autour d’une activité adaptée !
Les matières grasses dans l'alimentation de l'enfant. Beaucoup de parents autour de moi pensent qu'elles sont nocives pour les enfants. Ils craignent d’augmenter le risque de maladies cardio-vasculaires ou d’obésité.
NON, les jeunes enfants en ont besoin, au contraire ! Ils sont en pleine croissance et ils développent tout leur organisme, dont le cerveau. Ils ont un besoin important de lipides, notamment des acides gras essentiels. On les appelle ainsi car nous sommes incapables de les fabriquer. Il faut donc les apporter à notre corps par l’alimentation. Les matières grasses doivent représenter presque la moitié des apports quotidiens des jeunes enfants. De plus, la qualité et la variété des matières grasses ingérées sont importantes. Comment faire pour introduire les matières grasses dans l'alimentation de l'enfant ?
Vous avez des questions supplémentaires ? N’hésitez pas à m’appeler !
Le miel est aliment doux, sucré et naturel.
Nous avons souvent envie de le faire découvrir aux bébés, dans un laitage ou sur le bout du doigt pour calmer la douleur.
Mais à partir de quel âge peut-on en donner et pourquoi?
Il est possible de donner du miel à partir d’un an.
Le miel peut contenir des spores d’une bactérie appelée clostridium botulinum.
Avant un an, le système immunitaire de l’enfant n’est pas assez mature pour se défendre. S’il mange du miel contenant ces spores, il risque de développer une maladie grave appelée botulisme infantile, qui affecte le système nerveux.
Les spores, transportées par les abeilles, peuvent se trouver dans tous les types de miel, quelques soient leurs origines.
Pour plus d’informationssur les mécanismes et les symptômes de cette maladie:
https://www.anses.fr/fr/content/pas-de-miel-pour-les-enfants-de-moins-d%E2%80%99un
Conclusion, il est fortement déconseillé de donner du miel avant un an !
Le lait de croissance, apparu dans les années 90 avec toute une gamme de nouveaux produits infantiles, a longtemps été décrié.
Son utilité est aujourd’hui largement reconnue, et voici pourquoi :
Toutefois, il demeure quelques arguments en sa défaveur:
Le lait de croissance présente une réelle utilité de 1 à 3 ans (voir plus si votre enfant mange moins de 100g de viande par jour). Il est recommandé d’en boire 500ml/jour de 1 à 3 ans, sous forme liquide ou en poudre. Préférez les formules contenant au minimum de 1mg de fer/100ml.
Un parent m’a récemment contacté pour des conseils d’alimentation. Son nourrisson de 6 mois avait du mal à boire ses biberons de lait mais appréciait de manger à la cuillère. Sa question : Comment lui apporter le calcium nécessaire à sa croissance
Cela peut arriver! Continuez paisiblement à lui proposer ses biberons, comme habituellement. Si le problème persiste, parlez-en aux professionnels de santé qui accompagnent votre enfant.
La courbe de poids et de taille reste un bon repère pour surveiller la croissance optimale de l’enfant.Il est possible de compenser l’apport en calcium, en fer et en acides gras essentiels.
Chaque cas est évidemment particulier. Il est important d’en parler avec un spécialiste.
Votre enfant commence à sauter, crier ou s’agiter, autour de vous, ou bien il se met en colère d'un seul coup sans que vous ne compreniez pourquoi.
Vous sentez que ce n'est pas le moment pour vous, votre journée a été difficile, un agacement monte et votre seuil de tolérance diminue.
C’est déjà super d’en avoir conscience, vous avez fait le plus difficile, c’est la première étape.
Mais ensuite, que faire ? Comment gérer ses émotions ?
Si vous parvenez à vous apaiser, vous aiderez plus facilement votre enfant à faire de même, car il ressent vos émotions, sans être capable (avant au moins 5 ans) de les gérer.
Pour retrouver rapidement un peu de sérénité et être disponible ensuite pour accompagner votre enfant, testez ces quelques astuces et adaptez-les en fonction de vous!
- Outils :
La cohérence cardiaque, pour une meilleure gestion de son état émotionnelVoici un lien, mais il en existe beaucoup d’autres ! Il suffit de respirer profondément pendant 5 minutes, 3 fois par jour (au réveil, en journée et le soir). C’est un moyen simple et efficace pour retrouver un peu de sérénité. La seule difficulté, c’est de prendre le temps de le faire !
https://www.florenceservanschreiber.com/outils/5-minutes-de-coherence-cardiaque/
https://www.franceinter.fr/emissions/prendre-le-temps-de-mediter
-Podcast :
- Mini-série
« Dis-moi », 50 épisodes de 2 minutes chacun sur l’enfance (Les émotions, l’empathie, la communication) :-Livres :
-Films documentaires :
Je suis infirmière puéricultrice, et avec mes collègues, nous partageons régulièrement cette réflexion : « Notre métier est peu connu » et il est souvent confondu avec celui d’auxiliaire de puériculture. Voici une définition du métier de puéricultrice.
Petite précision au préalable, il existe quelques puériculteurs, mais ils sont rares, je parlerai donc au féminin !
Une puéricultrice est une infirmière ou une sage-femme, qui a effectué une année de spécialisation dans le domaine de la santé de l’enfant (de la naissance à l’adolescence).
Elle a des connaissances solides sur les questions relatives à l’enfance sur :
Cette spécialisation est reconnue par un diplôme d’état.
Sa mission principale est de promouvoir, maintenir et restaurer la santé de l’enfant dans ses différents milieux de vie. Elle a un rôle de prévention, d’information et d’éducation auprès des enfants et des parents.
Elle peut exercer son activité dans différents domaines:
- à l’hôpital ou en clinique
- dans les structures d’accueil petite enfance
- en protection maternelle et infantile (PMI)
- à l’aide sociale à l’enfance (ASE), dans les pouponnières
- en libéral en effectuant des soins techniques
- Et depuis peu de temps, sous un statut indépendant, en accompagnant les enfants et les familles sur le chemin de la parentalité, en répondant aux petites et grandes questions de l’enfance.
Après 20 ans d’expériences dans ces différents secteurs, et formée récemment aux neurosciences affectives et sociales et à la communication non-violente, j’ai choisi cette nouvelle possibilité pour écouter les enfants et les parents, croiser les compétences avec les miennes et pour prendre soin ensemble des enfants.
Être puéricultrice, c’est donc être une spécialiste de l’enfant, qui promeut avec empathie sa santé, sa sécurité, son bien-être et son développement.
Si vous voulez en savoir plus sur ce métier: https://www.anpde.asso.fr/la-profession
Je voudrais partager avec vous une réflexion, qui me reste en tête.
Lors d’une consultation, une maman, orientée par un pédiatre, m’a confié qu’elle avait attendu plusieurs jours avant de m’appeler.
Elle voulait s’en sortir, seule, sans aide extérieure.
Finalement elle a fait la démarche. Et elle s’est sentie mieux ensuite!
Lorsque l'on est parent, il est normal d’avoir des moments de doute, de se sentir déconcerté, inquiet, épuisé et d'avoir besoin d’un moment d’écoute, de partage et de réassurance.
Mieux vaut ne pas attendre, mais qui consulter?
Les professionnels de l’enfance, dont les infirmières puéricultrices, sont là pour répondre à cette nécessité, pour échanger avec les parents et leur redonner confiance dans leurs compétences parentales, se ressourcer et avancer paisiblement avec leurs enfants.
Ce n’est pas être un « mauvais parent », que de demander du soutien et l’aide d’un professionnel.
Le temps de consultation permet de repartir confiant, apaisé, rassuré, de pouvoir accompagner son enfant rempli de cette sérénité, et de retrouver l’harmonie dans la famille.
Alors, n’hésitez pas à faire le pas!
Un bébé pleure, tout le monde le sait! C’est d’ailleurs la première chose que l’on attend de lui à la naissance. Mais à quoi servent ces pleurs? Pourquoi certains enfants pleurent ils moins que d’autre?
Voici un nouvel article pour revenir sur les pleurs, les représentations et perceptions individuelles qui les entourent et leur accompagnement.
Bonne lecture!
Remontons à la préhistoire. L’enfant qui pleure c’est celui dont on va s’occuper, que l’on va nourrir, porter, réchauffer. C’est l’enfant qui va vivre. Les pleurs sont donc profondément ancrés en nous pour permettre la survie de notre espèce. A travers eux, le bébé exprime une sensation désagréable comme la faim, la soif, le froid, le besoin de réconfort…
Pour ces pleurs, le rôle des parents est alors de trouver, en faisant différentes propositions à l’enfant, comment l’apaiser. Cela contribuera à développer des liens entre le bébé et l’adulte qui prend soin de lui et donc à renforcer l’attachement de l’enfant envers son parent.
Mais les pleurs peuvent aussi être un moyen d’évacuer ses tensions pour les nourrissons. En tant qu’adulte, le fait de bouger, de faire du sport peut contribuer à notre détente. Les capacités motrices des nouveau-nés sont limitées et elles ne leur permettent pas de s’apaiser. Les pleurs de décharge peuvent y contribuer. Ils interviennent notamment en début de soirée. Ils peuvent être secondaires à la mise en place de l’horloge biologique (rythme jour/nuit),aux nombreuses stimulations et sollicitations de la journée ou encore à l’environnement émotionnel. Il est alors nécessaire d’accompagner ces pleurs, sans forcément les réprimer, afin de permettre un retour à l’équilibre. Les pleurs peuvent être vus comme un système de régulation ou d’élimination des tensions, tout comme le fait d’uriner, de déféquer ou de transpirer. Ils sont utiles! Cela est similaire à notre expérience d’adultes: quand nous ressentons de la tristesse, nous avons parfois besoin de pleurer. La disponibilité d’un proche à l’écoute nous soutient. En revanche, s’il nous dit, «Allez, arrête de pleurer, ce n’est pas grave, tu en verras d’autres…», nous ne nous sentons ni écoutés, ni libérés de cette émotion. A nous, parents, d’être ce proche à l’écoute qui apaisera notre enfant.
Ce qui est complexe pour le parent, c’est de pouvoir faire la distinction entre ces différentes situations. Devant un enfant qui pleure, les parents sont parfois inquiets, voire angoissés. Beaucoup se sentent démunis.
Dans les premiers temps, il est nécessaire de fonctionner par tâtonnement, par intuition. Cela fonctionne parfois, d’autre pas. Ce n’est pas grave. C’est la découverte, la rencontre entre un petit être humain et ses parents. C’est ainsi qu’ils vont apprendre à se connaître, à se comprendre, à s’attacher… et à identifier plus sûrement la raison des pleurs!
Lorsque les pleurs de l’enfant deviennent insupportables, provoquent de la colère chez l’adulte qui prend soin de lui (ce qui peut arriver à tous les parents), il vaut mieux passer le relais ou poser le bébé en sécurité sur le dos dans son lit. En cas de pleurs incessants, il est important d’en parler à son médecin, afin d’éliminer un potentiel problème médical et de se faire accompagner.
Lorsqu’un enfant pleure, ce n’est pas tant le fait qu’il pleure qui est difficile mais bien souvent tout ce que l’on peut s’en dire (images, idées, jugements). Ces pleurs peuvent réveiller en nous, nos propres vécus d’enfant. Il est alors intéressant d’en prendre conscience et de pouvoir l’exprimer.
Nous avons des représentations anciennes sur les pleurs de l’enfant. Non. Ils ne sont ni un caprice, ni une persécution ni une manipulation de l’enfant vers l’adulte. Le cerveau du jeune enfant est bien trop immature pour cela. Ils sont seulement l’expression d’un besoin physiologique ou émotionnel insatisfait, sans stratégie derrière.
La perception des pleurs avec le plus de neutralité possible, aide à les accompagner plus sereinement. Et plus l’adulte est apaisé, et moins les pleurs seront exacerbés.
Pour résumer, les pleurs de l’enfant peuvent contribuer au développement du système d’attachement ou au besoin de décharge. Pour ce dernier, il est alors nécessaire d’accompagner les pleurs en étant disponible pour l’enfant, mais sans essayer de les empêcher. Cela demande aux parents de la patience, de l’empathie et une connaissance de ses propres émotions et limites, dans une période où leurs ressources sont affaiblies par le manque de sommeil. L’accompagnement par des professionnels de santé expérimentés peut vous aider à traverser ces périodes délicates.
contact@grandiranantes.com
Le Nid de Saint Jo, 9-11 cours Jeanne Allain, 44300 Nantes
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